Comme, à l'aube, la rosée
Aimons nos rêves
nés dans la nudité
Les milles fleurs
tu m'ennoblis
dira-t-elle arondie
comme est la lune
sous les poussières
D'un arbre séculaire
l'homme
Doucement devant mes yeux
retire ma robe
ferme nos yeux
L'éternelle vérité
L'instant de paix
sentait la cigarette
La nature était parée
sous nos draps défaits
la merveille s'effacera
Sachons dire un mot gentil
avant de nous abandonner
Vas-tu faiblir, ô jeunesse
tu parles seule
maintenant d'un autre âge
Oh ! j'ai besoin de toi
est-ce la mère, est-ce l'enfant
est-ce l'amant
cette voix qui s'est éteinte
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